Menés par Hubert de Sainte-Suzanne, les habitants du Mans se révoltent en 1069. William I (known as William the Conqueror), Vision of Britain | Administrative Units Typology | Status definition: Hundred, Réseau des bibliothèques de Suisse occidentale, https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Guillaume_le_Conquérant&oldid=176858547, Date de naissance incertaine (XIe siècle), Article contenant un appel à traduction en anglais, Page utilisant le modèle Citation avec un retour ligne, Catégorie Commons avec lien local identique sur Wikidata, Article de Wikipédia avec notice d'autorité, Page pointant vers des dictionnaires ou encyclopédies généralistes, Page pointant vers des bases relatives aux beaux-arts, Page pointant vers des bases relatives à la bande dessinée, Page pointant vers des bases relatives à la santé, Portail:Biographie/Articles liés/Militaire, licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions, comment citer les auteurs et mentionner la licence, Arbre généalogique des principaux protagonistes à la succession d'Édouard le Confesseur. Ils auront au moins dix enfants dont quatre fils[85] : Guillaume le Conquérant figure sur une pièce de 10 € en argent édité en 2012 par la Monnaie de Paris pour représenter sa région natale, la Basse-Normandie. L’armée franco-angevine entre dans le pays d’Hièmes, donne l’assaut à Exmes, arrive dans le Bessin, passe la Dives, puis se dirige vers Bayeux, rebrousse chemin devant la Seulles, franchit l'Orne à Caen (qui est alors une ville ouverte dépourvue de château). Des guerres éclatent entre les principales familles baronniales ; des châteaux se dressent dans le duché[9]. Les seigneurs normands n'étant pas capables de réprimer cette révolte, le Conquérant décide de se charger en personne de la répression. La Tapisserie de Bayeux, dont on peut soupçonner la partialité, montre Harold prêter serment de fidélité à Guillaume et renoncer à la succession au trône anglais au profit du duc de Normandie. Reine active et régente du duché pendant les séjours de Guillaume en Normandie[51], elle meurt le 2 novembre 1083[d 30]. Par l'intermédiaire de l'archevêque Robert le Danois, le duc de Bretagne se réconcilie avec Robert le Magnifique et se reconnait son vassal[3]. Il est particulièrement fort, capable de tirer à l'arc mieux que beaucoup d'autres et a une bonne endurance. De 1035 à 1066, une vingtaine de nouveaux monastères sont fondés à travers le duché, représentant un développement remarquable de sa vie religieuse[d 32]. Harold est reconnu roi avec l’assentiment des seigneurs et du peuple. Payés pour abandonner et rentrer, les Danois retournent à leurs bateaux. Guillaume doit poursuivre sa conquête armée ; il sécurise Douvres et une partie du Kent, prend Cantorbéry et Winchester, où se trouve le trésor royal. Le duc compte sur eux pour dominer une Angleterre rebelle à l'autorité des nouveaux occupants. Il s'enfuit dans la nuit, puis est accueilli par Hubert de Ryes qui le fait escorter en sécurité jusqu'à Falaise[d 9]. Guillaume le Conquérant, assisté de Rotrou II du Perche, assiège et s'empare du château[64]. Le 14 octobre 1066 il a été couronné roi d’Angleterre jusqu’à sa mort le 9 septembre 1087. Avant de mourir le 9 septembre 1087[71], le duc-roi règle sa succession : il confie à son fils aîné Robert Courteheuse le duché de Normandie, tandis que son deuxième fils Guillaume le Roux reçoit la couronne d'Angleterre. En Normandie, on ne peut construire de châteaux que par autorisation du duc et ils peuvent lui être remis sur sa simple demande. Durant le règne de Guillaume le Conquérant, « l'organisation de la société normande est féodale »[77]. Ce dernier venait de succéder à leur père Richard II, mort un an plus tôt. Robert prend Lothian, forçant Malcolm à négocier, et fait construire un nouveau château à Newcastle-on-Tyne sur la route du retour[d 29]. Fin 1081, Guillaume est de retour sur le continent, pour intervenir de nouveau dans le Maine. Cette visite aurait pour but de sécuriser la succession d'Édouard le Confesseur[b 7], ou bien d'obtenir une assistance face aux troubles qu'il rencontre alors en Normandie[31]. Le 14 octobre au matin, la bataille d'Hastings s'engage : elle dure toute une journée, une durée exceptionnelle pour l'époque. Cote : ANN 328/1 Voir le numéro de la revue «Almanach pittoresque, touristique & historique de la Seine-Maritime et de la Haute-Normandie» Autres articles du numéro «Almanach pittoresque, touristique & historique de la Seine-Maritime et de la Haute-Normandie» Les préparatifs comprennent également d’importantes négociations diplomatiques. Ce point semble en contradiction avec un paragraphe précédent où le moine évoque « les embaumeurs et les croque-morts » qui préparèrent le corps[73] mais les techniques d’embaumement égyptiennes étaient perdues à cette époque et les moyens empiriques utilisés ne garantissaient pas la préservation des corps[74]. Rapide, l’expédition ne rencontre pas de résistance, Guillaume, qui était à Falaise, se bornant à mobiliser son armée et renforcer ses châteaux. Né à Falaise en 1027, descendant des redoutables Vikings, il reçoit la couronne ducale de Normandie en 1035, après la mort en Terre Sainte de son père, Robert le Magnifique. Il semble enfin qu'Édouard le Confesseur, souverain affaibli, ait fait des promesses identiques à d'autres grands féodaux voisins, de manière à s'assurer de leur neutralité faute de pouvoir les contenir par la force[35]. Époux: Guillaume I Le Conquérant n. : 1027 à: Falaise, Normandie, France d.: 9 sep 1087 à: Rouen, Normandie, France s.: 1087 à: Caen, Normandie, France Prof.: Roi d'Angleterre Père: Robert Le Magnifique Mère: Arlette Herleva de Falaise Après un combat contre Harold, roi anglo-saxon, Guillaume le tue et devient Roi d'Angleterre le 14 octobre 1066 à Hastings. Devenu le Conquérant après son couronnement en Angleterre le 25 décembre 1066, il fut l’un des plus puissants monarques de l’Europe occidentale au Moyen-Âge. Par ailleurs, Eustache de Boulogne, allié de Guillaume lors de la bataille d'Hastings, tente de prendre le château de Douvres mais est repoussé. Le duc de Normandie Guillaume le Bâtard remporte sur ses vassaux conjurés la bataille du Val-ès-Dunes. En 1066, Guillaume le Conquérant a bénéficié d'une heureuse conjoncture politique et diplomatique qui lui a permis de conquérir l'Angleterre sans être menacé ou attaqué sur ses arrières. Beaucoup de soldats dans son armée sont des puînés auxquels le droit d’aînesse laisse peu de chance d’hériter d’un fief. Guillaume semble gérer son duché ces années-là sans intervenir militairement[b 16]. L’inscription sur la tombe de Gundrade indique qu’elle est l’épouse de Guillaume de Warrene et fille de Guillaume le Conquérant. Gollet, le fidèle bouffon de Guillaume, surprend les propos des conjurés réunis à Bayeux et prévient son maître qui dort à Valognes. Guillaume naît en 1027 ou 1028 à Falaise, en Normandie, probablement en automne, non pas au château de Falaise, mais au domicile de sa mère Arlette, vraisemblablement dans le « bourg » de Falaise[b 1],[4],[5]. Enjoy the videos and music you love, upload original content, and share it all with friends, family, and the world on YouTube. En 1077, Simon de Crépy, comte d'Amiens, de Vexin et de Valois, se retire au monastère de Condat. Il confie à son demi-frère Odon de Bayeux, et à Guillaume Fitz Osbern, le fils de l'ancien protecteur du jeune duc Osbern de Crépon, la gestion du royaume[48]. Guillaume le Conquérant, détail de la tapisserie de Bayeux" />Le duc Guillaume est parvenu saint et sauf en son château de Falaise.Il décide alors de faire appel à l'aide de son suzerain, le roi Henri Ier (1008, †1060). La tradition a gardé que ce fut dans la rue de la Chaussetterie, à Mantes, près du parvis Notre-Dame que le vainqueur trouva la mort dans son triomphe[69]. Christopher Tyerman, « William FitzOsbern », dans Who's Who in Early Medieval England, 1066-1272, Éd. HISTOIRE - Le 9 septembre 1087 mourait Guillaume dit le Conquérant, descendant du chef viking Rollon. Le Cabourgeais Olivier Pétré a appris, il y a trois mois, qu’il avait pour ancêtre le duc-roi Guillaume le Conquérant lui-même. Le serment de Salisbury (en) permet de rappeler en sus à ses vassaux leurs obligations de fidélité et leur allégeance directe au roi[51]. L’examen de ses restes indiquent qu’il mesurait 1,78 m, avec une forte corpulence. Les légats et le roi organisent ensuite une série de conciles dédiés à la réforme et à la réorganisation du clergé anglais. Ralph se replie vers Norwich, les forces royales à ses trousses. Mais la puissance de ce grand seigneur inquiète le roi de France -plus faible-, au point qu'il se retourne contre son vassal et s'allie avec ses ennemis (en 1054 et 1057). Guillaume doit passer toute son année 1074 en Normandie, et confie l'Angleterre, qu'il considère comme pacifiée, à quelques fidèles, parmi lesquels Richard Fitz Gilbert (ou Richard de Bienfaite), Guillaume Ier de Warenne[b 11] et Lanfranc[d 26]. À son tour, Guillaume Guerlenc, comte de Mortain, est banni[27]. Bibliographie (ouvrages consacrés au règne et à la personne de Guillaume le Conquérant. William I (c. 1028 – 9 September 1087), usually known as William the Conqueror and sometimes William the Bastard, was the first Norman King of England, reigning from 1066 until his death in 1087.He was a descendant of Rollo and was Duke of Normandy from 1035 onward. Cette fuite de Valognes, relatée par les chroniqueurs comme une chevauchée seul et sans escorte, forge en partie le mythe de Guillaume, jeune homme courageux, bâtard et solitaire[18]. La conspiration débute à l'occasion du mariage de Ralph de Gaël (aussi connu comme Raoul de Gaël), un comte anglo-breton, et d'Emma, fille de Guillaume Fitz Osbern. Cependant l'arrivée des Danois engendre des soulèvements dans tout le pays : Devon, Cornouailles, Somerset et Dorset. Son couronnement, approuvé par le Witenagemot (ou Witan), se fait dès le 6 janvier 1066[39]. Le concile de Whitsun voit la nomination de Lanfranc comme nouvel archevêque de Cantorbéry, et Thomas de Bayeux comme archevêque d'York, en remplacement d'Aldred, mort en septembre 1069. Ralph de Gaël est dépouillé de ses terres anglaises et de son titre de comte. Ses difficultés sont augmentées du fait de l'extension de son territoire : il ne peut pas intervenir partout, directement et rapidement. Lors de ce séjour en Normandie, Harold aurait participé aux côtés de Guillaume à la campagne menée contre le duc Conan II de Bretagne, où il s’illustre par sa bravoure. La plus emblématique de ces constructions est la Tour de Londres, et son donjon la Tour Blanche, bâtie en pierre de Caen et bientôt vue en symbole de l'oppression infligée à Londres par la classe dirigeante normande. Ainsi le jeune duc de 19-20 ans écrase les seigneurs complotistes lors de la bataille du Val-ès-Dunes, près de Caen en 1047. Il doit mater des révoltes de l’aristocratie saxonne. Intronisé comte du Maine par son père en 1063, alors qu'il n'a qu'une douzaine d'années, et reconnu officiellement par Guillaume comme son héritier, Robert n'a cependant pas de pouvoir. Mais l'aristocratie anglo-saxonne se rebelle plusieurs fois: la conquête du royaume n'est achevée que quelques années plus tard. Olivier est un descendant de Guillaume le Conquérant. Les allers-retours sont cependant nombreux puisqu'il traverse la Manche au moins 19 fois entre 1067 et sa mort. Le roi ne change pas d'avis, probablement encouragé par sa nièce Judith (en), qui a témoigné contre son mari : Waltheof est décapité le 31 mai 1076, près de Winchester. Guillaume reste en Angleterre après son couronnement afin d'asseoir son pouvoir et de s'assurer le soutien des locaux. Son père Robert le Magnifique, duc de Normandie, a eu un moment d'égarement avec la fille d'un tanneur de Falaise, en dehors de son mariage, et un fils est né . Guillaume le Conquérant entreprend d’imposer un pouvoir central fort. Par ailleurs, la révolte de Courteheuse peut s'analyser comme un « classique conflit de génération » entre un père représentant d'une époque austère et un fils fastueux, témoin d'une jeunesse bouillonnante[63]. Guillaume le conquérant: Plantagenêt et Capétiens: La grande charte: Des Lancastre aux Tudor (1400 à 1600) Possessions anglaises en France: Les gouvernants de l'Angleterre de 1066 à 1952 . Il est empoisonné, dit-on, par un traître sur l'ordre de Guillaume, soupçonné d'avoir commandité cet assassinat[30]. La victoire de Robert à Cassel renverse les rapports de domination dans le nord de la France[d 24]. Un peu plus d’un siècle auparavant, son quadrisaïeul (autrement dit son arrière arrière arrière grand-père) Rollon le viking acquit le territoire par le traité de Saint-Clair-sur-Epte signé avec le roi de France Charles le Simple. Le meurtre du comte Ligulf de Lumley, un Northumbrien, par l'archidiacre Leobwin sert d'étincelle[51] : Walcher et plusieurs de ses hommes, venus à la rencontre des habitants, sont tués[67]. D'abord faites de bois et de terre, ces constructions sont progressivement remplacées par des structures en pierre[b 23]. Peu après, son fils Robert se révolte de nouveau et rejoint le roi de France Philippe Ier. Du fait de son soutien à Riwallon de Dol quelques années plus tôt, Guillaume le Conquérant n'a notamment aucun mal à attirer les vassaux de Bretagne dans son projet de conquête[d 21]. La bataille est sanglante, elle s'achève sur une victoire pour le roi anglo-saxon, le roi norvégien et Tostig sont tués avec la majorité de leur troupe. À la mort de son père, il devient duc de Normandie à huit ans. Cette rébellion rassemble essentiellement de « vieux Normands » de l’Ouest (Bessin, Cotentin, Cinglais) traditionnellement indociles et hostiles à la politique d’assimilation menée par les ducs[note 2]. Rollon, chef viking, reçoit de Charles le Simple (898 – 922), roi des Francs, ce territoire en échange de la fin des pillages. Après une période de forte instabilité, il parvient à reprendre la domination … Une liaison très forte les unissait et leur relation était basée sur la confiance et le respect. Après la mort de Hugues IV du Maine en 1051, l'Angevin s’empare du Mans, de Domfront et d’Alençon aux dépens du seigneur de Bellême qui les tenait du roi de France[d 13]. Descendant des Vikings, fils illégitime du duc de Normandie Robert Ier, Guillaume le « Bâtard » naît à Falaise en 1027. Qu'importe, Robert épouse la mère de Guillaume, selon la tradition vikingqui autorise la polygamie. Arrivé à Winchester pour la Pâques 1070, Guillaume reçoit trois légats du pape Alexandre II, qui le couronnent officiellement en tant que roi d'Angleterre, donnant ainsi le sceau d'approbation papal[b 9]. En tant qu'héritier du roi Édouard, il contrôle l'ensemble des domaines royaux et y ajoute une grande partie des terres de Harold et sa famille, ce qui fait de loin le plus grand propriétaire du royaume : à la fin de son règne, ses terres en Angleterre sont quatre fois plus importantes que celles de son demi-frère Odon, le propriétaire le plus important après lui, et sept fois plus que celles de Roger de Montgommery[b 31]. Conquérant. Robert le Magnifique devient duc de Normandie le 6 août 1027, à la mort de son grand frère Richard III, âgé seulement de 20 ans. Le duché de Normandie traverse en conséquence une décennie de troubles alimentés par la mort de son grand-oncle l'archevêque Robert le Danois, son premier et puissant protecteur, en mars 1037[d 6]. À Noël 1085, Guillaume ordonne le recensement des propriétés foncières du royaume, que ce soient les siennes et celles de ses vassaux, comté par comté. Cet événement capital marque le début de sa domination réelle sur la Normandie. La bataille de Varaville (1057) constitue un tournant décisif pour l’avenir politique du duc Guillaume : le duché de Normandie échappe pour longtemps à l’influence de la France qui n’est plus une menace. En 1562, pendant les guerres de religion, les protestants profanent, vandalisent et pillent son tombeau. ), les autres sont parfois issus de lignées relativement humbles[b 25]. Des complots frappent jusqu’à l’entourage ducal et Guillaume perd plusieurs de ses tuteurs ou protecteurs par assassinat : Alain III de Bretagne, qui s'était proclamé protecteur de Guillaume mais revendiquait le duché pour lui-même en tant que petit-fils du duc Richard Ier, meurt à Vimoutiers en octobre 1040[10] ; Gilbert de Brionne, nommé par la suite tuteur de Guillaume, est assassiné quelques mois plus tard sur l'instigation de Raoul de Gacé[11],[12] ; Turquetil de Neuf-Marché est assassiné vers fin 1040-début 1041[13] et enfin le sénéchal Osbern de Crépon, tué dans la chambre même du duc par le fils de Roger Ier de Montgommery[14]. En mai 1055, peu après le bannissement de son frère Guillaume de Talou, comte d'Arques, Mauger est déposé à son tour au concile de Lisieux et envoyé sur l'île de Guernesey[24],[25]. Guillaume est un homme pieux qui participe au mouvement de la réforme grégorienne sur ses terres: il réunit à Lisieux en 1055 un concile de l'Église de Normandie, renouvelle l'épiscopat normand et nomme des moines réformateurs dans les abbayes -les affranchissant de la tutelle ecclésiastique locale. Tous les compagnons de Guillaume à Hastings n'ont pas obtenu de terre : certains semblent avoir notamment hésité à accepter des terres dans un pays qui ne semblait pas tout à fait pacifié. Ses vastes terres à travers l’Angleterre lui rapportent, d'après le Domesday Book en 1086, plus de 3 240 £ par an[53], ce qui en fait le plus riche des seigneurs (tenants-in-chief, « seigneurs concédants ») du royaume. Vers 1030, Robert envoie sa flotte ravager les environs de Dol. Hastings, 1066 : comment Guillaume le Conquérant a mis l'Angleterre à ses pieds. Edwin de Mercie, Morcar de Northumbrie et Waltheof de Northumbrie conservent leurs terres et leur titre. Lorsque ce dernier revient au pouvoir, il fait de Guillaume son héritier, avant de le désavouer sur son lit de mort au profit de son beau-frère Harold, qui avait pourtant juré fidélité à Guillaume. Son expédition s'achève sur un accord négocié par l'intermédiaire d'un légat du pape[b 15]. ne profitent de la campagne pour s’emparer de la Normandie. Parenté (90 liens de parenté) Henri Jean Joseph BIGEON,Descendant de Louis VI de FRANCEest un descendant à la 27e génération de Guillaume Ier (Le Conquérant) de NORMANDIE,Roi d'ANGLETERRE. > Généalogies anciennes > Guillaume le Conquérant > Guillaume le Conquérant - ascendance (20 générations) Guillaume le Conquérant - ascendance (20 générations) 1 le CONQUERANT ; (LE BATARD) Guillaume ° ca ../../1024 Falaise (14) + 06/09/1087 Hermeville (76) 7ième Duc de Normandie (1035-1087), Roi d’angleterre (1066-1087) Le 14 octobre 1066 il remporte la célèbre bataille d'Hastings: Harold II y trouve la mort. Le roi … Compagnons de Guillaume le Conquérant Aller à : Navigation, rechercher Le terme compagnons du Conquérant est une dénomination collective pour tous ceux qui planifièrent, organisèrent et se joignirent à Guillaume le Bâtard, duc de Normandie, dans la grande aventure qu'a été la conquête normande de l'Angleterre (1066-1071)1. Selon les sources normandes, le roi d'Angleterre Edouard le Confesseur fait de Guillaume de Normandie, qui est son petit-neveu, l'héritier du trône car il n'a pas de descendance directe. À l'aile gauche, l'armée bretonne est submergée par une contre-attaque saxonne, qui nécessite le secours de la cavalerie de Guillaume. En effet, ce sont deux couronnes, une ducale et une royale, détenues par un même titulaire, le duc de Normandie, dans le cadre d'une union personnelle. Battu, Guillaume d'Arques s’exile après l’échec de sa révolte contre le duc en 1054, ses fiefs étant confisqués et redistribués. Il demande enfin que tous les prisonniers qui promettent de ne pas troubler l'ordre public soient relâchés[72], ce qui sera notamment le cas de son demi-frère Odon[b 18].