Il est élu par les députés au cours d'un vote transcommunautaire et dispose de trois adjoints. Le président est élu au suffrage universel à bulletin secret par un système de vote alternatif, issu du système de scrutin à vote unique transférable[11]. Ainsi, le président Hillery (1976-90) déclina l'invitation de la reine Élisabeth au mariage du prince Charles et de Lady Diana Spencer en 1981, sur les conseils du gouvernement. Cependant, malgré les modifications apportées aux articles 2 et 3 de la Constitution dans le cadre de l'Accord du vendredi saint, le titre du poste reste toujours « Président d'Irlande » car la Constitution irlandaise stipule que le nom officiel de l'État est simplement « Irlande » et que le terme de « République » n'est qu'une simple description. Selon les juristes, la version irlandaise qui fait état du « propre arbitre » du Président implique que celui-ci doit prendre ses décisions seul, sans consultation extérieure, alors que la version anglaise qui parle d'« absolue discrétion » semble permettre au président une liberté de manœuvre, comme celle de consulter l'opposition. Il est élu pour sept ans, renouvelable une fois, au suffrage universel direct[1]. M. Biden, dont les racines sont irlandaises, réitéré son soutien aux « accords du Vendredi saint » de 1998. Il y a plusieurs différences entre l’Irlande et l’Irlande du Nord, et la politique en fait partie. Joe Biden et des membres du Congrès des deux partis ont accusé le gouvernement britannique de menacer l'accord du Vendredi saint sur la paix en Irlande du Nord, en compromettant l'accord de retrait du Royaume-Uni de l'UE. C'est le pouvoir de réserve le plus largement utilisé et il a été utilisé par six des huit présidents (les présidents Patrick Hillery et Mary Robinson l'ont utilisé à plusieurs reprises). L'Irlande du Nord est partie constituante du Royaume-Uni. Le président de l'Assemblée nord-irlandaise (Speaker of the Northern Ireland Assembly, en anglais) est le député chargé de présider l'Assemblée nord-irlandaise.Il est élu par les députés au cours d'un vote transcommunautaire et dispose de trois adjoints. Les autres fonctions du président incluent la convocation et la dissolution du Dáil Éireann. Le président se déplace dans une limousine Mercedes-Benz Classe S LWB. Cela se produit si le Président considère que le texte revêt une grande importance nationale et qu'il doit être préalablement approuvé par le peuple lors d'un référendum ordinaire ou par le Dáil après une nouvelle élection générale, tenue dans un délai de huit mois. Arlene Foster, la cheffe du parti unioniste DUP, devrait reprendre ses fonctions à la tête du gouvernement, d'après le quotidien local Belfast Telegraph. Contrairement à Seán O'Kelly en 1952, de Valera fut renommé en 1966 par le Fianna Fáil. Cependant, il ne s'agit là que d'une consultation et le Président n'est pas tenu d'agir conformément à l'avis du Conseil. La République dIrlande a un président élu pour sept ans, un premier ministre (Taoiseach, à vos souhaits) et un parlement à deux chambres. En effet, d'après la Constitution, le Taoiseach (Premier ministre) est tenu de démissionner s'il a « cessé de conserver l'appui de la majorité » de l'Assemblée, à moins qu'il ne demande au président de dissoudre le Dáil. Cette élection suppose de renoncer à toute affiliation politique. Depuis le 7 Juin, 1921-30 Mars 1972, le parlement en Irlande du Nord a été le Parlement d'Irlande du Nord, qui a choisi presque toujours la Parti unioniste d'Ulster (UUP) pour gouverner la région. Alternativement, le président peut être démis de ses fonctions par les deux chambres de l’Oireachtas, mais uniquement dans le cas d'une « conduite déplacée avérée »[15] Si au moins trente membres de l'une des deux chambres de l'Oireachtas le propose, la demande de mise en accusation est examinée par la chambre requérante. La Constitution habilite également le Conseil d'État, statuant à la majorité de ses membres, à « prendre toutes dispositions qui leur sembleraient nécessaire » à l'exercice des fonctions présidentielles dans les cas que la constitution n'aurait pas prévus. Les six comtés du nord, avec une forte présence protestante, sont restés unis pour former la Grande-Bretagne Irlande du Nord. Dans le cas où elle est approuvée par une majorité des deux-tiers, le président est officiellement mis en accusation. Il a également vu le stade national. Techniquement, chaque mandat présidentiel expire à minuit la veille de l'investiture du nouveau président. Par conséquent, entre minuit et l'investiture du lendemain, les devoirs et les fonctions présidentiels sont exercés par la Commission présidentielle. Ce pouvoir permettrait au président d'intervenir si, dans des circonstances extraordinaires, les procédures ordinaires de convocation des chambres avaient échoué. Histoire Création. Cependant, elle partage une histoire et une culture commune avec le reste de l'Irlande. Contrairement aux présidents de nombreuses autres républiques, le président d'Irlande ne détient aucun pouvoir exécutif. Finalement, leur candidat, Tom O'Higgins, échoua à un cheveu de la victoire. Du côté nord de la frontière en revanche, on reconnait lautorité de la Reine. La limousine présidentielle est toujours bleu marine et porte l'étendard présidentiel sur l'aile-avant gauche et le drapeau tricolore irlandais sur l'aile-avant droite. En tant que chef de l'État irlandais, le président reçoit le plus haut niveau de protection du pays. Le président a alors le droit de refuser une telle demande, auquel cas le Premier ministre doit démissionner immédiatement. Quand on s'adresse à lui, on utilise normalement l'expression « Son Excellence » (en irlandais : A Shoilse / A Soilse). José Manuel Barroso, président de la Commission, a été la première personnalité politique de premier plan à … Toutefois, aucune modification ne fut apportée à la Constitution. C'est également le président qui promulgue les lois, en tant que troisième entité de l'Oireachtas. Parmi les fonctions cérémonielles du chef de l'État, on compte notamment la nomination du Taoiseach (chef du gouvernement) et d'autres ministres, et accepte leur démission. Il peut également convoquer un « Comité des privilèges » à la demande du Sénat et après consultation du Conseil d'État. Si ce système était introduit, il serait largement redondant avec le pouvoir de refuser une dissolution du Dáil que détient le président et pourrait donc être retiré de la Constitution. Néanmoins, trois personnalités de l'opposition, y compris le chef du Fianna Fáil, Charles Haughey, ont exigé d'être mis en relation avec Hillery. Bien qu'il n'existe plus aujourd'hui d'ambiguïté sur sa compétence au sein de la seule République d'Irlande, elle est toutefois considérée par de nombreux nationalistes du Nord comme leur président et ils prennent position pour que le droit de vote aux élections présidentielles soit étendu à l'ensemble de l'île. La durée du mandat présidentiel, fixée à sept ans, s'est inspirée de la durée de ceux des présidents allemand et autrichien. Le Conseil d'État peut donc être considéré comme le troisième organe dans la ligne de succession. Ainsi, l'ancien Tánaiste (vice-Premier ministre), Mary Harney, suggéra que la présentation d'un candidat à la présidence puisse être réalisée par cinq à dix Teachtaí Dála ou sénateurs (au lieu de 20 actuellement). La nouvelle popularité du Sinn Féin n’a pas grand-chose à voir avec tout ça. Sur les conseils du gouvernement britannique, les lettres de créance de la reine Élisabeth pour la nomination des ambassadeurs du Royaume-Uni en Irlande n'étaient pas adressées au « président d'Irlande », mais au président en personne (par exemple: « président Hillery »). La résidence officielle du président est le Palais présidentiel (Áras an Uachtaráin) à Dublin. Ce comité a pour but de résoudre un différend entre les deux chambres de l’Oireachtas (Parlement), notamment pour savoir si un projet de loi est, ou non, un projet de loi de finances[10]. Quand on fait référence au président, il est de coutume de l'appeler « président » ou « Uachtarán » plutôt que « Monsieur ou Madame le Président» (ou toutes formes similaires). Le parti unioniste démocrate (DUP) d’Irlande du nord, allié des conservateurs à Londres, a perdu deux sièges aux législatives. L'investiture du président se déroule dans le St Patrick's Hall au château de Dublin. En conséquence, on considère généralement qu'il est inapproprié pour le Président d'être contacté par les dirigeants des partis politiques dans le but de l'influencer pour qu'il (ou elle) utilise son pouvoir discrétionnaire. Cette mesure n'a été utilisée qu'une seule fois, dans le cas de Nicky Kelly[5],[6]. Pour maintenir la paix en Irlande du Nord, ici, on compte aussi sur le nouveau président américain. Ainsi, à l'enterrement d'un enfant mort dans un attentat de l'IRA véritable à Omagh, elle a symboliquement parcouru les allées de l'église main dans la main avec le chef du Parti unioniste d'Ulster et du Premier ministre d'Irlande du Nord, David Trimble. Enfin, le Président à le pouvoir de grâce[4]. Les traités étaient donc signés au nom du « roi d'Irlande». De plus, le fait que, sous la direction de McDonald, le Sinn Féin s’est débarrassé de nombre des stigmates li… Enfin, après consultation du Conseil d'État, le président peut convoquer une réunion d'une ou deux chambres de l'Oireachtas. Le président ne peut assurer ses fonctions que dans le strict respect de la Constitution ou de l'accord du gouvernement. En 1996, le Groupe de révision constitutionnelle a effectué une recommandation en faveur d'un maintien des prérogatives du Président. La Constitution de l'Irlande prévoit un système parlementaire de gouvernement, en vertu de laquelle le rôle du chef d'État est largement cérémoniel. En fait, l'Irlande du Nord comprend les comtés à majorité protestante tandis que la République d'Irlande au sud est à majorité catholique. L'apparente contradiction entre les versions irlandaise et anglaise de la Constitution a dissuadé les présidents d'utiliser ce pouvoir et a conduit à une très stricte application d'une politique de non-contact avec l'opposition. Mais l'Irlande du Nord ne se limite pas à sa côte. En effet, dans l'article 3 de la Constitution, l'État irlandais déclare explicitement qu'« en attendant la ré-intégration du territoire national », son autorité ne se limite qu'à la République d'Irlande et ne s'applique donc pas à l'Irlande du Nord. Le président a également la possibilité de limiter la période au cours de laquelle le Sénat peut examiner un projet de loi, à la demande du Dáil Éireann et après consultation du Conseil d'État.